Rendez vous!

Publié le par konk

Gaza, 900 morts......Israël 13 morts.

Je ne sais pas quoi dire. J'écoute, je regarde, je compte les morts. Pourquoi se laissent-ils massacrer comme ça les Palestiniens? Pourquoi ne pas demander grâce et se soumettre. Regardez les moyens des Israéliens, leurs colonnes de chars, on dirait le Pacte de Varsovie, leurs avions, leur marine, une telle concentration d'armes sur un aussi petit territoire, qu'est-ce qu'ils peuvent faire contre ça les types du Hamas avec leurs kalachnikovs? Qu'est-ce qu'ils attendent ? Que leurs " frères " ouvrent un autre front ? Ils ne bougeront pas.
Ils sont seuls, il faut qu'ils se rendent.
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U
Ne manquez pas le prochain numéro:"parti en stop pour les croisades, le club des cinq se fait empaler par le cheik Mohamed Duhutrou", (édité par les éditions Lefebvre)
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P
http://www.youtube.com/watch?v=dlfhoU66s4Y
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B
<br /> Petit extrait du roman pondu par le coq dominant de tradiland.               Du Signe de piste pour apprentis martyrs:----------------Chapitre 45 - La Dernière patrouille Cela faisait deux jours qu’ils n’avaient pas dormi, cinq jours qu’ils n’avaient pas mangé ou peu s’en fallait (lourdingue). Ils n’étaient plus que dix-huit. Dix-huit rescapés de ce qui fut la 4e compagnie de chasse du 12e régiment Jeunesse Impériale (heil!), rattachée temporairement au 638e régiment d’infanterie légère. Une pluie torrentielle s’abattait sur la forêt, il faisait nuit (quel talent dans la description) et le jeune chef de patrouille (grade équivalent à sergent-chef): (aucun intéret) Thomas Nedellec (avec un nom comme ça il fera st cyr)) faisait le point des effectifs (18 c'est facile à compter banane). L’état des lieux était rapidement fait (ça lui a pas pris beaucoup de temps alors): 7 Cadets de la section Luis Moscardo dont un élève-officier, 4 Cadets de la section Scouts de Perros-Guirec, 4 Cadets allemands de la Breslau HJ, 2 Cadets de la section Philippe Daudet et l’élève-tambour Kuntz, qui n’avait pas à être là mais qui y était quand même… (des noms français comme on en fait, pas, italiens et allemands: Pétain, Mussolini, Hitler bonjour!) Un régiment d’un millier de soldats totalement exterminé (ah tiens, là, on dit exterminé !) et dont ils étaient les seuls survivants. Avant de succomber dans un combat par trop inégal, l’unité avait rempli sa mission (quel sens du sacrifice: heil!) : ralentir au maximum l’offensive gouvernementale le temps que le piège se referme sur l’armée régimiste (? c'est une invention de l'écriviste ?). Bien évidemment, les gamins (ah cette nostalgie des petits martyrs qu'on envoie sauter sur les mines, mein führer) ne savaient pas quel plan forcément génial avait été concocté par « le Père de la Nation » (ha ben oui, Pétain, Enzo, sont forcéments géniaux; surtout dans la boucherie) et qui nécessitait le sacrifice de tout un régiment (bienvenue aux boucheries Sanzot, euh...non, Enzo).Cette nuit (la nuit, la mort, ça le fait!  manque que les flambeaux), ils avaient enterré le seul adulte qui était encore avec eux, leur Compol. C’était lui qui, malgré ses graves blessures (on est adulte ou ne l'est pas), avait pu les guider à l’abri (de quoi, où qui? A l'abi on te dit! pinaille pas!). Touché au ventre, il avait mis des heures à mourir, ses mains couvertes de sang pressant (écrasant, martelant à coups de poings son ventre blessé non?) vainement son ventre perforé. Quand le froid annonciateur de son départ vers l’Achéron le saisit (départ de qui de quoi ?), il fit venir Thomas près de lui et lui donna ses ultimes conseils : «Mon petit, c’est fini pour moi. Vous allez être touts seuls maintenant, livrés à vous-mêmes (pourvu qu'ils n'aillent pas se droguer ou détrousser des peites vieilles!). Votre mission, si tant est qu’il reste une mission (et si tant est que cette chose s'appelle un roman), c’est de rentrer à la maison (on dirait du Daniel Goossens). Le 638e n’existe plus. En marchant vers le sud, vous retomberez tôt ou tard sur nos lignes. Je suis fier de vous (vous de même, je vous en prie, après vous)… ». Désormais, le commissaire politique (communiste !!!) reposait dans la glaise, près du lit de la rivière. Ils avaient roulé une pierre sur la fosse, en guise de sépulture (bravo les gamins, maintenant il a la gueule toute écrasée, sont cons ces gosses!). Ils y écrivirent à l’aide d’une roche crayeuse (trouvée dans la glaise ? c'est bisarrement foutu tradiland ?): « RIP Gérard Duval (Pierre Durand eût-été plus original), 42 ans, Commissaire de régiment, tombé au combat le 2 février pour la libération de Tradiland, notre Sainte Patrie (après Pétain, Mussolini, Hitler, les tsars et Poutine)». Maintenant (somptueuse transition), il n’y avait plus de 4e commando de chasse, il y avait 18 gamins transis de froids, affamés, épuisés et qui ne savaient plus où ils étaient (mince alors, même pas la boussole de pif gadget ?). Ils arrivèrent à la lisière de la forêt, près d’un champ (pas trop paumés quand même). Le spectacle d’apocalypse les saisit à la gorge (ça brûle ?) : il y avait des carcasses de véhicules partout (c'est le bordel en somme). « Mon Dieu », murmura Thomas, « c’est un véritable cimetière (écrire plutôt: fichtre diante, c'est un véritable cimetière mon pauvre milou, nettement plus djeuns). Il n’y a plus rien qui bouge (sauf nous, arf!). Ce sont les nôtres ou les leurs (c'est une révision de grammaire?) ? Couvrez-moi (d'un châle?), je vais voir si je trouve du ravitaillement (un frigo ou un mac do)». Un jeune cadet lui murmura : « je viens avec toi, je veux voir les véhicules, c’est ma spécialité (sont tous givrés)». Sous la protection des autres cadets, ils rampèrent vers les cadavres mécaniques (hooooooooo quelle belle image!). Le petit passionné de matériel de guerre arriva à proximité d’un véhicule à chenilles en triste état : ses trois canons jumelés pendaient lamentablement dans le ciel et son flanc était éventré par une roquette air-sol (on est triste, pourvu qu'il ne meurre pas!). Le cadet tapa sur la carcasse : « Ça, c’est un tank antiaérien ZSU-30-6 soviétique, donc c’est un des nôtres. Ils ont dû les faire monter à l’avant quand les avions ont attaqué… » Ils rampèrent de concert (pour un intermède musicale?) vers un autre blindé détruit : « AMX-30, il a encore ses cocardes, c’est un gouvernemental ! Mince, t’as vu ses marques d’unité ? C’est la 2e DB ! ». Le chef de patrouille hocha la tête : « Regarde là-bas, l’espèce de jeep, c’est peut-être intéressant » « Ta jeep, c’est un UAZ 469 russe, donc de chez nous (manque le jour, le mois et l'année de fabrication). On ne doit pas être loin du PC régimentaire. Une chose est sûre, c’est qu’on est touts seuls, exceptés les cadavres (de chars, snif!) et les corbeaux (enfin un peu de couleur)… Je crois que notre régiment a été anéanti mais qu’en face, ils n’ont pas fêté longtemps leur victoire… Hé, regarde-moi ce bestiau ! Il était tout neuf avant d’être détruit… incroyable, c’est un EE6-Carcavel (passionnant)». Nedellec haussa les épaules : « Enchanté, moi c’est Nedellec » (bravo Pierre dac). Le cadet répliqua : « attends, t’as rien compris ! Le Carcavel, c’est brésilien (avec du poil sous le canon) comme char, et on en n’a pas, ça je le sais (et quand je s'rai grand j'f'rai la guerre avec tout plein de morts nananère). Donc, c’est forcément un char du gouvernement. Et si les gouvernementaux nous lancent des Carcavels flambants neufs, ça veut dire que… » « que ? » « que le potentiel blindé de la république est totalement anéanti ou peu s’en faut… Oui, oui, ouiiiiii, on a gagné cette foutue guerre ! On a eu la peau de la catin à bonnet phrygien (parlent pas mieux que dans les cités les schtroumpfs guerriers)… » Thomas lui tapa sur l’épaule : «Oh, oh, mollo, beaucoup de fusil fiston (s'il avait été noir ça aurait donné: n'golo, n'golo, ca y'en a être beaucoup fusils missié). Je te rappelle qu’on est en zone ennemie, Dieu sait où, qu’on n’a rien dans le ventre depuis 5 jours et qu’on tient debout par miracle (et surtout grâce à cet empoté de romancier ). Si on ne trouve pas de la bouffe (osé! Mais bon on leur en veut pas ils se sont quand même fait massacrés!) d’ici ce soir, tout ce qu’on aura gagné, c’est de servir de repas aux corbeaux. Tu as la force de monter sur le gros char là-bas ?Celui avec le radar… » Le cadet en avait presque les larmes aux yeux : « Oh les salauds, ils nous ont détruit un Shilka (qu'ils tuent des humains, pas grave, papa, maman, à la rigueur, mais un shilka, non pas ça!!) ! Quasiment ce qu’on a de mieux ! » Hochement de la tête désapprobateur du chef de patrouille : « Toi mon garçon, tu vas faire carrière à l’état-major, tu iras dire à la veuve et aux orphelins : désolé madame, désolé les enfants, votre mari, votre papa est mort mais réjouissez-vous, le ZSU-23-4 est réparable, c’est une bonne nouvelle non ? (certains parents de tartignoland ont du raler, d'où ce rajout de dernière minute accepté à contrecoeur par l'auteur qui a boudé pendant 15 jours cette intrusion dans son oeuvre universelle)» Hissé tant bien que mal sur la carcasse du char (arf!), il scruta l’horizon (zob!  on a oublié de vous dire que le jour s'était levé). « Je ne vois rien, des trucs qui flambent par là-bas dans les champs… une offensive blindée ennemie qu’on a stoppé net apparemment… la pente douce (on dirait du Maupassant), la rivière en bas (en général c'est le cas)… hé… une ferme !!! Une ferme de l’autre côté de la rivière ! Steak et jambons sur pattes en vue (Parbleu) ! »----------C'est beau comme l'antique!<br /> <br />  <br />  <br />
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E
@Phil : souvent de bonnes idées, un sens certain de la communication, mais je ne les connais pas assez pour me prononcer davantage.
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G
Mais ils en sont tous malades! Ecoutez les merdias français, d'une seule et unanime voix... et là dedans se mélangent les 'antisémitismes d'ectrême gauche, d'extrême droite.<br /> Et ce soir j'entends qu'Israël lance des bombes "sales"! c'est du napalm ou quoi? 900 morts ! ! Mais dites donc, on vous entend pas beaucoup pour les massacres des chrétiens noirs du Darfour par les islamistes? Enfin, quand l'ennemei commun est "le juiif" on se serre les coudes non? Pitoyable
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